Mais où va le monde ?
C’est un ensemble de textes, articles, journal intime qui débute en août 1914 et se finit en août 1918. Stefan Zweig y donne sa vision de la première guerre mondiale, il parle de l’Europe bouleversée par les changements que la guerre provoque.
L’auteur autrichien, grand humaniste et qui croyait que l’homme éduqué serait un homme bon, change d’opinion face à tant d’horreur. Si dans un premier temps, comme beaucoup de femmes et d’hommes il se sent une âme de patriote et veut sauver son pays à tout pris, il change vite d’opinion et espère que le conflit s’éteindra de manière pacifique.
Ce livre est très intéressant pour mieux comprendre l’homme qu’il était et en plus d’avoir été un grand écrivain. J’aurais bien dû mal à faire un résumé, mais si j’ai retenu une chose c’est que l’éducation et la connaissance de l’autre peuvent nous éviter bien des situations dramatiques. J’ai l’impression qu’on dit cela depuis des années mais que … rien ne se produit.
Un avis sur « Seuls les vivants créent le monde, Stefan Zweig »